Concernant
les virus, on nous donne les règles de base de protection
: se laver les mains régulièrement, respecter une
distance de sécurité (pas 1 mètre, mais 2
!), porter si possible des gants et un masque. Par contre, on
ne parle pas assez de ce qu'il serait utile de faire pour avoir
des chances de prévenir l'infection : renforcer le système
immunitaire. Pour cela il n'est pas indispensable d'ingurgiter
des médicaments, mais d'avoir une alimentation adéquate
, avec fruits,
légumes, épices dont certains ont des vertus
qui renforceront notre système immunitaire. De plus, certaine
huiles essentielles
ont des propriétés antivirales, telles que "tea
tree"
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et
"thym". Elles ne "soignent pas le covid19",
mais ont une action protectrice avérée. Elles sont
à employer avec précaution, car leur effet est très
puissant, et mal dosées, elles peuvent provoquer de graves
dysfonctionnements. A cela s'ajoute, on le sait bien, la pratique
régulière d'une activité physique. Le covid19
serait une véritablement "bombe à retardement",
indécelable pendant un certain temps, se déclarant
de façon relativement bénigne, puis se multipliant
à une vitesse extrêmement rapide, provoquant les
troubles graves que l'on connait. D'apprès d'éminants
virologues, le virus irait se "tapir" quelque part dans
notre organisme. Or, on sait qu'il s'attaque généralement,
en première intention, aux poumons. Une personne pratiquant
le yoga connait l'importance de pratiquer des "respirations
complètes". Celles-ci vont, entre autres, permettre
d'expulser l'air résiduel des poumons, ce que ne fait pas
la respiration que nous pratiqons tous les jours. Or, si l'on
suit un raisonnement logique, si le covid19 s'attaque de préférence
aux poumons, cette "cachette mystérieuse" ne
se trouverait-elle pas dans l'air résiduel qui y stagne
? Ce n'est qu'une supposition, mais elle parait logique, et vous
ne perdrez rien à pratiquer au moins une fois par jour
cette respiration complète, bien au contraire. Autres précautions
bonnes à prendre : se moucher le nez, en bouchant une narine,
puis l'autre, "éclaircir" le fond de la gorge,
soit en faisant un gargarisme ou en se "raclant" la
gorge (chez soi et pas dans la rue, évidemment !). On nous
dit aussi que le virus passe par les yeux, et l'on n'entend pas
assez insister sur la protection des yeux... On nous dit enfin
de laver les masques à 60°, mais il y a une vieille
recette qui fonctionne très bien : laver à l'eau
froide (ou tiède) en ajoutant du vinaigre blanc. De même
pour les surfaces au lieu d'eau de javel diluée, on peut
utiliser une solution de vinaigre blanc. D'après ce que
l'on sait, dans 80% des cas l'infection par le covid19 n'engendre
pas de cas graves. Elle se manifeste par de la fiève, une
perte plus ou moins importante du goût, des courbatures...
Il faut alors porter un masque également chez soi, dès
l'apparition des premiers symptômes, afin de protéger
son entourage (bien qu'il soit dit que la phase de contagion la
plus importante se situe avant la manisfestation des troubles,
ce qui rend le virus si dangereux). Par contre, il faut consulter
un médecin dès que l'on ressent une gêne respiratoire
grave (également d'autres troubles sérieux car le
virus peut aussi s'attaquer à d'autres organes, ainsi qu'au
cerveau). Dans ce cas, il n'y a pas de remède "miracle"
et il faudra suivre la voie des urgences, le plus rapidement possible.
On parle de "l'après pandémie", et on
nous dit que les choses doivent changer. Mais on ne nous fait
pas une liste, en ce qui concerne notre santé, de ce qui
doit changer... Alors disons le, ce qui doit changer c'est que
les gouvernements s'attaquent une bonne fois pour toute à
ce qui affaiblit nos défenses immunitaires, et en particulier
la pollution : de l'air, de nos aliments, de la façon de
les produire... Les technologies ont tellement fait de progrès
(bien plus vite que la prise de conscience humaine) que l'on a
les moyens de vivre autrement. Les moyens publics
de circuler
doivent être plus nombreux, non polluants, et d'un coût
accessible pour tous. Les collectivités publiques ne doivent
plus utiliser d'engins polluants ou avoir recours à des
entreprise de transport utilisant des véhicules polluants,
à l'instar de la majorité des bus urbains qui circulent
dans nos villes. Les véhicules roulant au gasoil tuent
chaque année des milliers de personnes, dans chaque pays
: les constructeurs, s'ils veulent continuer à les vendre,
doivent diminuer drastiquement leurs émissions de particules
fines. De nouveaux moyens de circulation individuels doivent voir
le jour, tels que des véhicules volants à cuve d'hélium,
et moteur électrique, non pas sous forme de "cigares"
comme les anciens zeppelins, mais sous forme de soucoupes pour
améliorer la pénétration dans l'air et minimiser
son emprise sur l'engin... Les problèmes divers de sécurité
(collision dans un ciel chargé d'engins, sécurité
de l'espace aérien national, peuvent à présent
être réglés). Ce changement induira une architecture
en grande hauteur qui permettra de mettre fin à l'un des
grands scandales de ces 50 dernières années : la
perte des terres agricoles ! La surconsommation de viande est
un terrible gâchis, tant sur le plan des émissions
de gaz dans l'atmosphère, que des répercussions
sur notre santé : une excessive consommation de viande
provoque des troubles de l'organisme et affaiblit les défenses
immunitaires... Sans compter un problème qui devrait intérroger
nos consciences : la souffrance animale (que nous absorbons quand
nous mangeons la viande) ! Voilà ce que devrait être
"l'après covid", et si "gouverner c'est
prévoir", que l'on soit enfin vraiment gouvernés
! Et pour conclure, si l'on veut éviter que le monde ne
plonge dans le chaos, au détriment de tous, que l'on fasse
en sorte que chacun, sur notre planète, ait le minimum
vital : de quoi se nourrir, se vêtir, se loger, s'éduquer
convenablement, et chacun y trouvera son compte, dont les plus
riches. On a entendu pas mal de bêtises concernant l'effet
de la chaleur. Certains ont pris l'exemple de pays africains ou
du Brésil pour dire que la chaleur n'avait pas d'effet.
Or en ce qui concerne l'afrique, sa population est très
jeune, et l'on sait que l'âge joue un rôle primordial
concernant les effets les plus graves du virus, sans compter que
le recensement des maladies laisse sans doute aussi à désirer.
Quant au Brésil, d'une part c'est un pays de l'hémisphère
sud, donc il est à présent (fin de printemps en
Europe) dans la saison d'automne, et bientôt en hiver. D'autre
part, le taux d'humidité jouant apparemment un rôle
non néglifeable, certains pays peuvent avoir la chaleur,
mais assortie d'humidité. Donc : profitons du soleil !
(sans excès). On nous dit
que chaleur et vitamines D jouent un rôle important dans
la protection contre les effets les plus graves du virus, tout
cela nous est donné par le soleil, et la chute des cas
graves en ce début juin 2020, donne de la crédibilité
à cette affirmation. Cependant, tant que le virus circule,
il est primordial de garder les précautions d'usage dans
les lieux fermés. Les endroits (clusters) où il
y a eu contagion, malgré la chaleur, son des endroits fermés,
et certains humides + promiscuité (abattoirs).
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